Bien que connaissant le phénomène depuis plus de 40 ans, je n'ai appris que très récemment que parhélie était un mot masculin.
Ici, on n'en voit que la moitiéPierre Corneille, en 1677, a écrit :
Ainsi quand le Soleil fait naître un parhélie,
La splendeur qu'il lui prête à la sienne s'allie ;
Leur hauteur est égale, et leur éclat pareil ;
Nous voyons deux soleils qui ne sont qu'un soleil.