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J'ai instinctivement pensé ce cher Général Pierre de Cambronne, mais je ne vois pas où seraient ce château et cette statue....

Le mot traduit l'attitude de ce monsieur devant ce site ...

Perplexe ?

Admiratif ?

dubitatif ?

Ce n'est pas un adjectif ...

ruine

Non ... Si vous avez croisé un jour la poésie de Victor Hugo, ça devrait vous aider (c'est facile comme ça ... non ?? )

Le château-fort

À quoi pensent ces flots, qui baisent sans murmure
Les flancs de ce rocher luisant comme une armure ?
Quoi donc ! n'ont-ils pas vu dans leur propre miroir,
Que ce roc, dont le pied déchire leurs entrailles,
A sur sa tête un fort, ceint de blanches murailles,
Roulé comme un turban autour de son front noir ?

Que font-ils ? à qui donc gardent-ils leur colère ?
Allons ! acharne-toi sur ce cap séculaire,
Ô mer ! Trêve un moment aux pauvres matelots !
Ronge, ronge ce roc ! qu'il chancelle, qu'il penche,
Et tombe enfin, avec sa forteresse blanche,
La tête la première, enfoncé dans les flots !

Dis, combien te faut-il de temps, ô mer fidèle,
Pour jeter bas ce roc avec sa citadelle ?
Un jour ? un an ? un siècle ?... Au nid du criminel
Précipite toujours ton eau jaune de sable !
Que t'importe le temps, ô mer intarissable ?
Un siècle est comme un flot dans ton gouffre éternel.

Engloutis cet écueil ! que ta vague l'efface
Et sur son front perdu toujours passe et repasse !
Que l'algue aux verts cheveux dégrade ses contours !
Que, sur son flanc couché, dans ton lit sombre il dorme !
Qu'on n'y distingue plus sa forteresse informe !
Que chaque flot emporte une pierre à ses tours !

Afin que rien n'en reste au monde, et qu'on respire
De ne plus voir la tour d'Ali, pacha d'Epire ;
Et qu'un jour, côtoyant les bords qu'Ali souilla,
Si le marin de Cos dans la mer ténébreuse
Voit un grand tourbillon dont le centre se creuse,
Aux passagers muets il dise : C'était là !

Le 26 novembre 1828.
Victor Hugo.

C'est une photo, un mot, non ? Bien vu mais ce n'est pas ce recueil là ... mais un autre très connu !

Le mot, c'était le titre

Kalvin a écrit :Le château-fort

À quoi pensent ces flots, qui baisent sans murmure
Les flancs de ce rocher luisant comme une armure ?
Quoi donc ! n'ont-ils pas vu dans leur propre miroir,
Que ce roc, dont le pied déchire leurs entrailles,
A sur sa tête un fort, ceint de blanches murailles,
Roulé comme un turban autour de son front noir ?

Que font-ils ? à qui donc gardent-ils leur colère ?
Allons ! acharne-toi sur ce cap séculaire,
Ô mer ! Trêve un moment aux pauvres matelots !
Ronge, ronge ce roc ! qu'il chancelle, qu'il penche,
Et tombe enfin, avec sa forteresse blanche,
La tête la première, enfoncé dans les flots !

Dis, combien te faut-il de temps, ô mer fidèle,
Pour jeter bas ce roc avec sa citadelle ?
Un jour ? un an ? un siècle ?... Au nid du criminel
Précipite toujours ton eau jaune de sable !
Que t'importe le temps, ô mer intarissable ?
Un siècle est comme un flot dans ton gouffre éternel.

Engloutis cet écueil ! que ta vague l'efface
Et sur son front perdu toujours passe et repasse !
Que l'algue aux verts cheveux dégrade ses contours !
Que, sur son flanc couché, dans ton lit sombre il dorme !
Qu'on n'y distingue plus sa forteresse informe !
Que chaque flot emporte une pierre à ses tours !

Afin que rien n'en reste au monde, et qu'on respire
De ne plus voir la tour d'Ali, pacha d'Epire ;
Et qu'un jour, côtoyant les bords qu'Ali souilla,
Si le marin de Cos dans la mer ténébreuse
Voit un grand tourbillon dont le centre se creuse,
Aux passagers muets il dise : C'était là !

Le 26 novembre 1828.
Victor Hugo.

Il y a une coquille dans la première phrase

Bon alors, vous avez bien compris que le mot c'est le titre d'un recueil de poèmes de Victor Hugo ...

Billy a écrit :

Kalvin a écrit :Le château-fort

À quoi pensent ces flots, qui baisent sans murmure
(...)
Victor Hugo.

Il y a une coquille dans la première phrase

Pas vu la coquille. Tu voulais dire une contrepéterie, peut-être ? Mais je ne la vois pas non plus...

booHguy a écrit :

Pas vu la coquille. Tu voulais dire une contrepéterie, peut-être ? Mais je ne la vois pas non plus...

Une coquille est une erreur de composition en typographie, que ce soit par omission (bourdon), par addition, par interversion, ou par substitution de caractères, donc relis bien et si tu ne vois toujours pas regarde la conjugaison du verbe baisser

Billy a écrit :

booHguy a écrit :

Pas vu la coquille. Tu voulais dire une contrepéterie, peut-être ? Mais je ne la vois pas non plus...

Une coquille est une erreur de composition en typographie, que ce soit par omission (bourdon), par addition, par interversion, ou par substitution de caractères, donc relis bien et si tu ne vois toujours pas regarde la conjugaison du verbe baisser

Je m'en doutais...
Alors, relis Victor Hugo, et tu verras qu'il n'y a pas d'erreur : les flots baisent les flancs du rocher

booHguy a écrit : Je m'en doutais...
Alors, relis Victor Hugo, et tu verras qu'il n'y a pas d'erreur : les flots baisent les flancs du rocher

Sacré Victor, plus coquin que je pensais

Bon, mais tout ça ne nous donne pas de mot ...

Miweb a écrit :Bon, mais tout ça ne nous donne pas de mot ...

Ben non, on sèche

La statue regarde vers les tours avec attention, assiduité, admiration pourrait-on presque dire. On pourrait parler de c..........on

Considération?

Non, plus fort que ça encore ... et, je rappelle que le mot (il est vrai au pluriel) a été utilisé par un certain Victor Hugo ...

Les contemplations

Le mot était bien "contemplation" ... Merci @Lune A toi la main ...

Merci @Miweb , c'était vraiment pour te rendre service
Youp la !